L’écumes des jours
La
semaine dernière, je suis allée voir le film L’écumes des
jours d’après le roman de Boris VIAN, realisé par Michel GONDRY. Bien
que je l’aie déja vu quand j’étais à Lyon, j’ai été émue cette fois-ci encore.
Le roman L’écumes des jours
a été défini comme « le plus poignant des romans d'amour contemporains »
par Raymond QUENEAU qui est connu pour Zazie dans le métro.
Je suis d’accord avec lui : c’est le roman le plus beau et le plus triste
que j’aie lu.
Voici
l’histoire. Il y a un homme jeune et riche qui s’appelle Colin. Il rencontre
une fille, Chloé. Ils tombent amoureux immédiatement et se marient tout de
suite. Mais après leur voyage de noces, Chloé a une maladie bizarre. Il y a un
nénuphar qui pousse dans ses poumons. Il faut beaucoup de fleurs qui coûtent
très cher afin d’empêcher l’évolution de la maladie : Colin devient pauvre
et s’épuise en faisant un travail pénible. Mais malgré ses efforts, Colin n’arrive
pas à sauver Chloé. Elle meurt et Colin ne fait plus que contempler sa tombe.
La scène que j’aime le plus est le petit déjeuner chez
Colin au début du film. Il y a beaucoup de plats bizarres mais ça a l’air bon.
Par exemple une poêlée de poisson vivant, une salade qui danse en musique. Ça m’a
mis de bonne humeur et ça m’a donné envie d’en manger.
Comme les plats vivants, Boris VIAN a inventé d’autres
détails fantastiques. Un pianocktail, un nuage rose qui sent le sucre à la
cannelle, le biglmoi(la danse )... C’est amusant, mais en même temps, ça souligne
l’aspect tragédique de ce roman.
Je vous conseille d’aller le voir avec quelqu’un qui
vous est cher !
0 件のコメント:
コメントを投稿